Né à Versailles le 9 octobre 1757, Charles X était le quatrième fils du dauphin Louis (fils de Louis XV,

Au cours de la première Restauration, son rôle fut négligeable. Mais, après le second retour du roi, Monsieur, frère du roi, étant l’héritier du trône, devint le chef et l’espoir du parti ultraroyaliste qui combattait la politique conciliante et modérée de Louis XVIII. Toutefois, lorsqu’il succéda à son frère le 24 septembre 1824, Charles X connut quelques mois d’une véritable popularité. Sa politique donna l’impression d’un retour à l’Ancien Régime.*

a plus grosse transaction que connut la régence s'ébaucha à Oran. En 1796 (ou 1793 d'après d'autres sources), les négociants juifs Bacri et Busnach firent sortir de Mers-el-Kébir plus de 100 navires chargés de blé algérien pour la France de Robespierre. Ces envois massifs de blé seront suivis par d'autres livraisons effectuées en 1797. Mais les souverains français qui se succédèrent, Napoléon Ier, Louis XVIII, Charles X, ne voulurent jamais honorer cette dette à l'égard d'Alger. Ainsi cette dette traînait depuis 1796, soit 31 ans

d'où le coup d'éventail

En politique extérieure, il voulut donner à la France une attitude plus active, d’où l’intervention en faveur de laGrèce et l’expédition d’Alger. En mars 1830,puisLa prised'Alger, le5 juillet1830,par les troupes françaises, commandées parLouis Auguste Victor de Ghaisne,comte de Bourmont.il entra en conflit avec la majorité de la Chambre élue qui refusait de collaborer avec le ministère Polignac investi de sa confiance. Car pour déresponsabiliser d'une misère éffroyable qui anéantissait le peuple Faraçais non notables ils envoya ces miséreux en Algérie d'où cette colonisation s'est injustement faite et qui fût la cause de la guerre de ce pays, suite à l'instauration de la 1ère République et celles qui suivèrent non moins indulgente, laissant tombé tout ce peuple à l'abandon dans une injustice   qu'il ne voulait pas de part et d'autres.

Une tentative malencontreuse de coup d’État (25 juillet 1830) provoqua le soulèvement de la population parisienne. Après trois jours de combats les 27, 28 et 29 juillet 1830, qu’il ne sut pas diriger, réfugié à Rambouillet Charles X fut contraint d’abdiquer en faveur de son petit-fils, le jeune duc Henri de Bordeaux ; ses enfants, Henri de Bordeaux et Marie Louise il gagnera le port de Cherbourg ’où il s’embarquera pour la Grande-Bretagne.

Après un séjour en Angleterre, il trouva un asile à Prague, où il passa le reste de ses jours. Il mourut à Gorizia, le 6 novembre 1836 lors d’une épidémie de choléra.

Un jour une Amie m’a dit de faire une étude biblique pour mieux comprendre Dieu et sa parole car je peux dire qu’après cette catastrophe et  d'autres incidents tout aussi injustes survenus dans mon éducation catholique , je commençais a douter sérieusement de sa miséricorde et de sa bonté,….. (ceci dis je suis toujours croyante mais plus avec ‘tous ses représentants ) !! j’ai donc suivi son conseil et nous tombons sur ce verset : "celui qui agit injustement et ne se repend pas, sera poursuivi de malheurs qui se ressentiront jusqu’à sur toute sa descendance", ce qui peut expliquer que nos ancêtres tous ouvriers ont surement eu tord de venir préter mains fortes au colonialisme  inculqué par le Roi Charles X en envoyant son armée et faire  venir dans ce pays des familles de métropole vivant dans une misère noire . Et voilà !!!! Je continue a prier notre seigneur sans cesse et lui demande le bon dicernement dans une paix sereine..........

PSAUME § 91 §

Pour pour toi Grand-Mère Chérie !!!!!

Située à 950 m d’altitude aux pieds du Djurdjura, magnifique montagne boisée de Kabylie entre Alger et Constantine à 250 km entre chacune de ces villes et en transversal par delà le Djurdjura, la méditerranée, et d’un autre côté juste aux portes du Sahara. , Arborant les plaines des monts du Hodna, des Bibans de la medjana, région riche céréalière et stratégique , plaque tournante ferroviaire pour tout le pays et au-delà, , ou on s’y plait tout de suite.

C'est sûrement pour cela que la fée de BBA lui a choisi cet endroit, ainsi tous ceux qui y sont nés ou sont venus d’ailleurs l’ont tellement aimé qu’ils n’ont cessé d’œuvrer pour faire d’elle une grande structure architecturale ,Enseignement, sport, Environnement, culture et ultra culture ! elle a pourtant subit beaucoup d’agressions comme malheureusement il y en a tant dans ce monde , Courageuse et ambitieuse elle a su résister au temps  ,

Amis Bordjiens MERCI !!

Pour Malika, Louisa, Anissa, Rachida, Zoubida ............ c’était la plus belle façon de dire merci à notre très généreuse Madame Nature qui a doté cette région de céréales d’une excellente qualité. tous ces produits tirés comme par magie de cette terre ingrate étaient une manne et l’ aliment de base de toute cette région……… Grâce aussi à ce climat exceptionnel, à Dieu, et au gros labeur d’hommes et de femmes, il y avait deux moissons dans une même saison !! Effectivement comment ne pas lui dire MERCI !! C’est pour honorer ce bien fait que leur gâteau traditionnel et originaire de cette région,

« El Bradj » un vrai délice !!!! fait de semoule de blé, d’huile, De sucre en poudre, et de purée compressée de dattes, Cuit dans des plats en terre cuite « el tajine » posé sur un récipient en terre cuite aussi, rempli de braise, dit « le canoun »et les autres mets plus délicieux les uns que les autres, HUMMMMMM !!!!!!!!!!!

Encore Merci mes AMIES !!!!!

Aline

J'adorais me déguiser avec mes petites copines et à l'école et à la maison, mais je préférais à la maison car à l'école on nous faisait des robes très jolies mais en papier crépon, pour évoluer dans une petite scène que les enseignantes créaient, par contre si l'une ou l'autre faisait un faut pas, OUPSS !! Elle marchait sur la robe de sa copine de devant elle et lui faisait un accroc à sa robe si bien qu’à la fin des ces petites fêtes on était toutes avec nos robes déchirées !! Un fou rire général explosait, puis on finissait par un bon goûter.

Notre cuisine d'époque avec la cuisinière à chrabon et les fours, où ma Grand-mère cuisinait tout l'hiver

A droite je suis en photo devant la maison

avec ma Grand-mère à Bordj-Bou-Arréridj en 1955

On mangeait les bonnes crêpes que faisaient les mamans et les Grands-mère par pilles de dizaines sans compter, elles commençaient à les faire deux ou trois jours avant et continuer pendant toutes les vacances, c'était comme ça de notre époque, dans notre famille nous faisions la première crêpe toute la famille réunie et ma Grand-mère mettait une pièce dans cette crêpe et la gardait toute l'année dans un papier qu'elle rangeait dans le buffet pour le vœu de prospérité, l'année suivante ma Grad-mère reprenait  cette crêpe toute séchée pour prendre la pièce de monnaie et elle reservait ainsi chaque année.

Et voilà le printemps qui s'achève à la fin du mois juin, pour fêter les fins d'années scolaires primaires , le bureau principal des écoles organisait une immense représentation sportive avec tous les élèves de toutes les écoles, auparavant nous faisiont  dans chaque école des plus petits au plus grands, les répétitions dans les cours de nos écoles respective, on appelait cette manifestation sportive les lendits scolaires

À la lumière de ce qui vient d'être dit, on peut penser que les stages USEP constituent l'une des premières traces historiques de formation continue pour les enseignants d'EP (5) Ainsi, à partir de 1953 et au moins jusqu'en 1959, l'USEP constitue, en Algérie, la seule (6) structure de formation en éducation physique pour les enseignants du premier degré. Cette hypothèse semble devoir être confirmée par les fonctionnaires des services de l’EPS en Algérie. Ainsi L. Sigala, chef du service académique EPS, synthétisant l'action de son service dans un article(7) écrit au très court chapitre traitant de l'éducation physique au primaire: « de nombreux stages, en particulier dans le département de Constantine, ont été organisés avec l'appui de la Commission technique de l'USEP ».
Deux ans plus tard E. Solal, inspecteur du département d'Alger, admet implicitement, par le truchement des statistiques (8), que rien n'avait été organisé par ses services avant 1959.

La formation des enseignants constitue donc un premier témoin de l'action menée par l'USEP en Algérie. Par ce biais, on peut penser que cette organisation semi‑publique a largement influencé l'évolution de l'éducation physique en Algérie, en particulier en ce qui concerne la propagation d'un enseignement physique à l’école primaire. Mais, au‑delà de la diffusion de l'idée même de la pratique, il fallait construire et proposer un enseignement rationnel pour convaincre les enseignants. À cet endroit, l'USEP semble avoir fait preuve d'originalité dans le contexte d'après‑guerre, en proposant un éclectisme pro‑sportif avant l'heure.

Ces deux premières parties montrent une dominante orthopédique et rééducative, mais il semble que les enseignants algériens seront plus sensibles à la suite du programme USEP pour l'éducation physique du primaire où l'on retrouve les lendits et l'initiation sportive. D'ailleurs, le bureau USEP algérien reconnaît que la préparation du mouvement des lendits, précédée d'une mise en train, équivaut à une leçon d'éducation physique. La présence des lendits dans les contenus de l'éducation physique est plus originale puisqu'elle ne s'inscrit ni dans les perspectives officielles, ni dans les partisans d'une éducation physique plus sportive. Elle est directement héritée de l'action du docteur Tissié qui avait milité en 1895 auprès de la Ligue de l'Enseignement et, par la suite, avait collaboré avec la section USEP des Basses-Pyrénées pour généraliser cette pratique

Les étés sont très chauds 40°° à l’ombre !! Nous savions nous adapter à cette chaleur et à organiser nos activités de façon à ne pas trop en souffrir et au contraire en faire une belle période conviviale et gaie !! très gaie !! de très bonheur nous aussi dans nos maisons nous rafraîchissions les sols a grande eau et tout de suite après on fermait les volets pour garder la fraîcheur on entrevoyait entre les persiennes l’extérieure , Quelques personnes allaient et venaient, pour vaquer à leurs occupations, une occasion à nous enfants de jouer au Sherlok Holmes et nous inventer des scénarios !!!

Pendant la sieste indispensable pour lutter contre cette chaleur , les bébés les enfants,, les personnes âgées et les malades tout ce petit monde à l’ombre , ma grand-mère préparait du sorbet au citron dans un sceau en bois remplis de glace pilées dans lequel elle faisait tourner un récipient en aluminium contenant sa préparation bien mesurée que l’on dégustait  pour le goûter de 4 heures sous notre figuier dans la cours !! ah !!!! ce figuier !! généreux !! un amour ce figuier !! il nous donner de l’ombre des figues délicieuses et avec le lait des queux de figues encore vertes on soignait certains bobos !!  le marchand de glace en barre et Monsieur trompette le marchand de crème glacée « Au Bon ça va Bien » poussant sa glacière ambulante faisaient fortune, les frigos encore rare à cette époque, qui n’ avait pas sa  glacière qui ne désemplissait pas ! on n’y allée pas de mains mortes avec les pastèques les melons , les pêches tous les fruits d’été …..

Se réveiller le matin en entendant le bruit rotatif du moulin à café bien coincé entre les genoux de ma grand- mère

à côté de notre voisine Fatma, assises toutes les deux devant la grande volière de mon grand-père, les oiseaux ? même pas effrayés par ces bruits rituels, ils s’émoustillaient tout doucement et lançaient des cuits..cuits aussi mélodieux que charmeurs !! plus l’odeur velouté du café frais, un paradis oui………….. mon petit paradis……..perdu …….. !!

le Mardi c'était le jour de grande lessive à la main bien sûr, pas de lave linge  encore chez nous.

L'hiver c'était une très pénible corvée mais l'été elle se transformait en un jour de joie et de bien être surtout ! Les mains et les pieds dans l'eau, avec cette chaleur, les volontaires se précipitaient en force, ce brouhaha autour des baquets en Zinc remplis de linge trempé depuis la veille et rincé à l'eau clair et fraîche tout ce monde venait prendre plaisir à la tâche, histoire de se rafarîchir un peut plus que les autres jours, au milieu de la cour il y avait un bassin pour les enfants, bien que nous subissions une forte restriction d'eau les mères de familles la répartissaient judicieusement  ce qui donnait l'impression de ne pas en manquer.

Ce jour là le repas prenait un air de pique-nique dans la cour, au menu salades de toutes sortes, poivrons, tomates, poulet frois et kotelettes grillées à la braise du canoun de fatma qui programmait sa lessive le même jour, la lessiveuse posée sur le trepieds  au-dessus des braises préparées de très bohneur le matin par ma grand-mère et Fatma, lachait des fluxs de bonne odeur de savon et de cristaux qui blanchissaient le linge !!!!!

LE  CANOUN

Enfants  nous n'avions le droit qu’une heure après le repas du soir avec nos parents et Grands-Parents !

A  ces  soirées belote on donnait les pions aux joueurs sans trop les gêner nous suivions  silencieusement les parties qui commençaient  pour ne pas déconcenter les joueurs, sur ma Maman et ma Grand-mère '(rire) elles n'aimaient pas perdre, dans ce cas là  l'ambiances’ enflammées et  rediscutaient les cartes jouées dans l’ordre ou pas , les fausses cartes, les appels, trop voyants pour les uns ou pas assez pour les autres , pissé ou pas pissé c’est une formule de la règle !!! Les coups sur la table compris ou incompris !! Enfin c’était comme au théâtre !!  TOUT comme celle de PAGNOL !!!!!!!!! Jusqu’à l’entracte avant les revanches !!

Le moment tant attendu

Pour radoucir ces soirées enragées ma grand-mère servait lesgrillottesbien mis en en pot durex à la saisons de tous les fruits de printemps précauce puis d'été dans cette région, pareil pour les raisins muscat de notre treille et les prunes(reine-claude) que mon grand père ramenait des grossistes primeurs de la plaine des Bibans ! J’en ai encore le goût à la bouche c’était le nec plus ultra ! Le délice des délices !! Et bien sûr c’était le meilleur moment pour nous avant d’aller au lit car il y avait école le lendemain et le mercredi soir veille du jeudi où nous allions le matin au catéchisme et l'après midi aux répétitions de petits ballets, sur différents thèmes, pour la fête de fin de d'année religieuses puis la répétition des chants pour la chorale des cérémonies et du dimanche à l'église.

Je ne me souviens pas avoir étai contrariée par ces activités, tout au contraire j’étais heureuse d'être en groupe et impatiente de voir la fin de ces spectacles pour le plaisir du jour ou une de ces fêtes arrivée à sa date dans notre belle salle des fête où toutes les familles venaient nous voir.

La salle des fêtes de

Bord-Bou-Arréridj

qui existe toujours

ET